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Aye caramba
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Aye caramba

VIP-Blog de billabong
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  • Créé le : 15/11/2005 00:26
    Modifié : 12/07/2006 11:33

    Garçon (28 ans)
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    Right now

    21/11/2005 01:34

    Right now


    La carrière du groupe est déjà jalonnée de tubes mais KORN persiste et signe. Ça vous pose un problème ?

    Fort d’un style musical audacieux et déstabilisant, KORN a déjà révolutionné le monde du heavy metal en défiant tout tentative de catégorisation et en se présentant aux fans lors d’événements multimédias sans précédent. Avec See you on the other side, première collaboration avec EMI/Virgin Records, sa musique atteint d’incroyables sommets, insoupçonnés jusqu’alors. Cette alliance inédite permet à KORN d’être encore plus novateur dans sa manière de présenter sa musique à ses fans, comptant parmi les plus farouchement fidèles de l’histoire du rock. A l’écoute de chansons aussi audacieuses que Twisted Transistor, Politics et Love Song, entre autres, il apparaît clairement que KORN (JONATHAN DAVIS, JAMES “MUNKY” SHAFFER, FIELDY et DAVID SILVERIA) ouvre grand les portes d’une créativité toujours renouvelée et d’une plus grande fusion, quitte à créer la confusion... Et personne ne sème mieux la confusion que KORN.

    « Nous étions assis là, un membre du groupe en moins, et nous avons décidé de tester d’autres producteurs, d’expérimenter et de voir ce qui se passerait », explique DAVIS en faisant allusion au départ de l’ancien guitariste Brian « Head » Welch (qui a quitté le groupe pour des raisons spirituelles) et à la décision du groupe de rallumer le feu en studio après l’album autoproduit Take A Look In The Mirror, paru en 2003. « Nous en étions arrivés à un point où se renouveler et réinventer était fondamental : nous sommes là, tous les quatre, nous essayons de créer une musique différente de ce que nous avons déjà fait, une musique qui va donner une bonne claque au public. En tant que groupe, nous avons la possibilité d’explorer toutes les directions, pourquoi nous restreindre ? »

    Signe d’une grande ouverture d’esprit, KORN, qui a déjà vendu plus de 25 millions de disques dans le monde et a regroupé ses œuvres dans Greatest Hits, Vol. 1, paru en 2004, entre donc en studio avec une équipe de producteurs radicalement différents. La seule constante, DAVIS, qui s’est occupé de la majorité des productions du précédent album, reste producteur sur SEE YOU ON THE OTHER SIDE, avec la collaboration de l’ équipe Matrix et Atticus Ross. « Nous savions que nous voulions expérimenter et voir ce qui arriverait, mais nous n’avions aucune idée du résultat », s’esclaffe DAVIS. « La sauce a vraiment bien pris : nous avons peut-être perdu l’un de nos membres mais, avec Atticus et Matrix, nous en avons gagné deux autres. »

    Le résultat ? L’album le plus révolutionnaire de KORN, enfant bâtard et tordu d’une fureur musicale aveuglante, d’une candeur lyrique sombre et cinglée aux sanglantes tendances sociopathes. Jusqu’alors KORN  réprimait une certaine forme de force industrielle, elle est aujourd’hui libérée et KORN atteint le sommet de son art. SEE YOU ON THE OTHER SIDE est bien plus que le résultat d’une évolution de KORN, l’album marque l’évolution du heavy metal.

    « Il nous en faut toujours plus », explique DAVIS. « De nombreux groupes font du heavy et le font bien mais nous avons toujours eu tendance à pousser la barre plus haut et à revenir avec autre chose. Nous nous sommes engouffrés dans un genre musical et nous essayons désormais de garder une longueur d’avance. Ce n’est surtout pas du KORN minimaliste ou vieille école : il s’agit pour nous d’une progression naturelle et nous allons encore un cran au-dessus. »

    Juste un cran au-dessus, certes, mais avec des effets dévastateurs : Twisted Transistor, le premier titre extrait de l’album, irradie un funk hybride mêlé à des consonances métalliques apaisantes qui se déversent ensuite en rafale sur l’attaque de guitares décapantes de Politics, sur les textures industrielles de Throw Me et la précision militaire de l’hymne Coming Undone. Tandis que Eaten Up Inside et Getting Off s’inscrivent dans le sillon du chemin ravagé que KORN a tracé sur son passage, les vrais joyaux sont à chercher dans leurs manipulations plus poussées. Quand DAVIS fait remarquer que Love Song est amené à impressionner « tous les gothiques déprimés qui traînent », sa délivrance s’inscrit plus dans la lignée de David Bowie que dans celle du death metal de Bauhaus.

    « Quand, à l’écoute de notre musique, nous nous regardons avec la peur aux tripes, nous savons que nous avons composé quelque chose de spécial », explique le chanteur. « C’est comme ça que nous savons que nous explosons toutes les barrières et explorons de nouveaux horizons, parce que nous en avons peur ! » Effrayant serait sans doute l’adjectif le plus adapté pour définir l’épique Seen It All, qui, à partir d’une intro ténébreuse, boueuse et vrombissante, sombre ensuite vers des profondeurs destructrices et cathartiques. KORN s’est toujours directement adressé à ses fans via sa musique, ce nouvel opus n’y fait pas exception. En fait, DAVIS a trouvé en ses co-producteurs les collaborateurs parfaits pour libérer tous ses démons intérieurs.

    « J’ai écrit sept albums qui valent leur pesant de cacahuètes et j’ai mon propre style, mais je voulais quelque chose de différent, pas le genre de paroles que j’ai l’habitude d’écrire. Je veux m’affranchir et dire les choses différemment. Rassembler ces gens différents autour de moi, avec leurs perspectives différentes et leurs talents divers eux aussi, ça m’a vraiment beaucoup aidé. J’ai toujours eu du mal à exprimer ce que je veux dire parce que je suis constamment limité par la mélodie ; ils m’ont vraiment beaucoup aidé pour ça sans pour autant nous faire perdre notre son. »

    Pour preuve, précipitez-vous sur le titre qui clôt l’album, Tearjerke, où les arrangements ont des sonorités ambiantes, douces et stellaires, et pourtant le bagage émotionnel est définitivement heavy. « Cette chanson s’inspire de ces jours sombres, où je suis sur la route par exemple, que je commence à me prendre la tête avec ma meuf et que j’ai l’impression que je ne peux aller nulle part ni faire quoi que ce soit, ces jours où je me sens si seul qu’il n’y a même pas de fantômes pour se les cailler à mes côtés. Je sais que les gens peuvent comprendre ce sentiment, peut-être pas exactement comme moi je le ressens, parce que tout le monde n’est pas sur la route, mais tout le monde connaît ses propres heures sombres et ces foutues relations, la perte de l’être aimé et ils se disent « Putain qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire maintenant ? ».

    Plus généralement, For No One, emprunte les accents d’une révolte adolescente sans être bien sûr limitée par les frontières de l’âge. « C’est une révolte très adolescente mais j’ai toujours ce sentiment en moi aujourd’hui », explique DAVIS. « Les gens essayent de lui accoler l’étiquette « crise d’adolescence » mais je ne pense pas que ce soit vraiment ça : personne ne se débarrasse définitivement de sentiments comme ceux-là. Il y a des moments où j’ai juste envie de prendre la bagnole et de foutre le bordel. Et puis continuer et foutre encore plus le bordel. En fait, il s’agit plus de l’Amérique en général, les conservateurs me font enrager. J’’adore mon pays mais ça me rend complètement dingue ! Un téton entraperçu et le monde entier s’arrête de tourner ! Qu’est-ce que ça fait si un gosse voit un bout de sein, putain ! »

    Sur un ton plus léger, le leader du groupe a des mots plus colorés pour décrire les paroles rythmées et le sursaut techno et effervescent de Open Up. « Fieldy a une basse très funky sur ce morceau, c’est vraiment une chanson pour bar à putes. »

    Si quelqu’un a un problème avec la source d’inspiration de DAVIS ou le choix des mots « bruts de décoffrage » qu’il emploie, Hypocrite a été écrit pour lui. «Ce morceau, c’est un vrai cri du cœur », explique-t-il, réprimant un rire. « C’est ma flèche décochée aux religions organisées et à tout mouvement en général, tous ces cons qui prennent notre argent au nom de Dieu ! On peut les voir dans les bars à putes, ce sont de sacrés hypocrites. » Tout cela servi avec un soupçon d’autodérision : quand on y réfléchit, le refrain de Hypocrite résonne un peu comme un chœur de Broadway un peu déglingué et ce n’est pas un hasard. « Je vais vous avouer une chose, Broadway, j’adore. J’ai grandi avec ça ! Et ces influences osent enfin sortir du placard. La raison qui m’a fait aller vers le rock, c’est Jésus Christ Superstar. Marrant, non ? Bien sûr quand c’est sorti, comme c’était un opéra rock, ils ont cru que c’était un blasphème. »

    Un blasphème. On en a dit autant sur KORN, ce qui ne l’a a pas ralenti d’une semelle. Le plus effrayant ? Le groupe devient de plus en plus fort. Si la première décennie de KORN a signé l’avènement d’une ère nouvelle pour le heavy, accrochez-vous parce que la prochaine décennie démarre aujourd’hui avec le maelström le plus implacable du groupe à ce jour.



    Commentaire de Mith (26/11/2005 01:26) :

    http://www.vip-blog.com/vip/blogs/mith.html



     

     

    hommage à mon ami W

    21/11/2005 01:15

    hommage à mon ami W


     

    Dans cet extrait de son nouveau livre "Dude, Where’s My Country ?" (Qu’as-tu fait de mon pays, mec ?), il pose sept colles à son vieil ennemi.

    J’ai sept questions pour vous, Monsieur Bush. Je vous les pose de la part de ceux qui sont morts le 11 septembre 2001 et de la part du peuple américain. Nous ne cherchons pas à nous venger de vous. Nous voulons seulement savoir ce qui s’est passé et ce qu’il faut faire pour que les assassins soient jugés afin d’empêcher de nouvelles attaques contre nos citoyens.

    1. Est-ce vrai que la famille Ben Laden fait des affaires avec vous et votre famille de temps à autre depuis 25 ans ?

    La plupart des Américains seraient peut-être étonnés d’apprendre que vous et votre père connaissez les Ben Laden depuis très longtemps. Quelle est la nature réelle de cette relation, Monsieur Bush ? Êtes-vous de bons amis proches ou simplement des associés qui font des affaires de temps en temps ? Salem Ben Laden - le frère d’Oussama - est venu au Texas pour la première fois en 1973 ; il s’est acheté un terrain, s’est fait construire une maison et a créé la "Ben Laden Aviation" sur l’aérodrome de San Antonio.

    Les Ben Laden sont une des familles les plus riches d’Arabie Saoudite. Leur entreprise de construction a quasiment bâtit le pays entier, à commencer par les routes, les centrales électriques, les gratte-ciels, et les bâtiments administratifs. C’est eux qui ont construit quelques unes des pistes d’atterrissage utilisées par les USA pendant la guerre de Golfe de votre père. Ils sont multi multi milliardaires et ils n’ont pas tardé pour investir dans d’autres aventures, y compris aux États-Unis. Ils ont des relations d’affaires très poussées avec Citigroup, General Electric, Merrill Lynch, Goldman Sachs, et le Fremont Group.

    Selon la revue Le New Yorker, les Ben Laden seraient propriétaires d’une partie des groupes Microsoft et Boeing, géant de l’aéronautique et de la défense. Ils ont fait don de 2 millions de dollars à l’université Harvard, votre ancienne fac, et de dizaines de milliers de dollars au Middle East Policy Council, un think-tank (groupe de réflexion) présidé par Charles Freeman, ancien ambassadeur en Arabie Saoudite. En plus des propriétés qu’ils détiennent au Texas, ils possèdent de l’immobilier en Floride et au Massachusetts. Bref, ils se taillent une belle part de notre gâteau.

    Comme vous le savez, Monsieur Bush, Salem Ben Laden, malheureusement, est mort dans un accident d’avion au Texas en 1988. Ses frères - ils sont une cinquantaine environ Oussama inclu - ont continué à gérer toutes les sociétés de la famille et leurs investissements.

    À la fin de son mandat de Président, votre père est devenu consultant, pour un salaire élevé, dans une société appelée le Carlyle Group - un des plus gros fournisseurs d’armements du pays. Un des investisseurs du Groupe Carlyle - à hauteur d’au moins 2 millions de dollars - était, vous l’avez deviné, la famille Ben Laden. Jusqu’en 1994 vous avez présidé la société Caterair qui appartenait au Groupe Carlyle.

    Après le 11 septembre, le Washington Post et le Wall Street Journal ont publié des articles à ce sujet. Votre première réponse, Monsieur Bush, a été de les ignorer. Puis votre armée d’experts s’est mise à manipuler l’information. Ils disaient : "Nous ne pouvons pas brosser le portrait de ces Ben Landen-là avec le même pinceau que nous utilisons pour Oussama. Ils ont désavoué Oussama. Ils n’ont rien à voir avec lui. Eux, ce sont les bons Ben Laden.

    C’est alors que des séquences vidéo ont fait surface, montrant un certain nombre de ces "bons" Ben Laden - y compris la mère d’Oussama, une soeur et deux frères - avec lui au mariage de son fils six mois et demi seulement avant le 11 septembre. La CIA savait très bien qu’Oussama avait accès à la fortune familiale (on estime sa part à quelque 30 millions de dollars) et que les Ben Laden, ainsi que d’autres Saoudiens, ont apporté à lui et à son groupe Al-Quaïda, un large soutient.

    Les médias vous ont laissé tranquille tout en sachant que tout ce que je viens d’écrire est vrai. On dirait qu’ils sont incapables ou qu’ils ont peur de vous poser une question toute simple, Monsieur Bush : Qu’est-ce qui se passe ici ?

    Si vous ne saisissez pas à quel point le silence des médias en ce qui concerne la relation Bush-Ben Laden est étrange, permettez-moi de faire une analogie sur ce que ferait le Congrès ou les médias si c’était Clinton qui portait le chapeau. D’après vous, s’il s’était avéré que les Clinton avaient eu des relations d’affaires avec la famille Timothy McVeigh après l’attaque terroriste contre le bâtiment fédéral à Oklahoma City, comment votre parti républicain et les médias auraient-ils réagi ?

    Ne pensez-vous pas qu’on aurait posé au moins deux questions, du genre : "Que signifie tout cela ?" Soyez honnête, vous connaissez la réponse. On aurait posé plus de deux questions. Ils auraient eu sa peau, à Clinton, avant de jeter sa carcasse dans la Baie de Guantanamo.

    2. Quelle est "la relation privilégiée" entre les Bush et la famille royale saoudienne ?

    Monsieur Bush, les Ben Laden ne sont pas les seuls saoudiens avec lesquels vous et votre famille entretenez des relations personnelles et proches. La famille royale entière vous semble redevable - ou est-ce le contraire ? Le premier fournisseur en pétrole des États-Unis est l’Arabie Saoudite qui possède les plus grosses réserves connues de pétrole dans le monde. Lorsque Saddam Hussein a envahi le Koweït en 1990, c’était en réalité les saoudiens voisins qui se sentaient menacés, et c’est votre père qui est venu à la rescousse. Les saoudiens ne l’ont jamais oublié. Haïfa la femme du prince Bandar, l’ambassadeur saoudien aux USA, dit de votre mère et de votre père : "ils sont comme ma mère et mon père. Je sais que si jamais j’avais besoin de quelque chose, je pourrais aller les voir."

    Une grosse part de l’économie américaine repose sur de l’argent saoudien. Ils ont investi pour un trillion de dollars dans notre bourse et un trillion dans nos banques. S’ils décidaient de retirer cet argent, nos sociétés et nos institutions financières s’effondreraient provoquant une crise telle qu’on n’en a jamais vue. Ajouté à cela que les 1,5 millions de barils de pétrole, que nous consommons quotidiennement, pourraient disparaître au gré d’un caprice royal et on commence à voir que non seulement vous mais nous aussi, nous dépendons de la maison des Sauds. Est-ce bon pour notre sécurité nationale, George, pour la sécurité du pays ? C’est bon pour qui ? Pour vous ? Pour votre papa ?

    Après votre rencontre avec le prince héritier saoudien en 2002, vous nous avez dit que "vous aviez créé des liens forts et intimes" et que "vous passiez beaucoup de temps ensemble". Vouliez-vous nous rassurer ? ou simplement afficher votre amitié avec un groupe de dirigeants qui font aussi fort dans la négation des Droits de l’Homme que les Talibans ? Pourquoi deux poids deux mesures ?

    3. Qui a attaqué les USA le 11 septembre, un mec sous dialyse au fond d’une cave en Afghanistan, ou votre ami l’Arabie Saoudite ?

    Je suis désolé, Monsieur Bush, mais il y a un truc qui ne colle pas.

    Vous nous avez fait apprendre par coeur que c’est Oussama Ben Laden qui est responsable de l’attaque contre les États-Unis le 11 septembre. Même moi, j’y ai cru. Et puis j’ai entendu des histoires bizarres sur l’état des reins d’Oussama. Du coup, je ne sais plus à quel Saint me vouer. Comment un mec, branché à une machine de dialyse, a-t-il fait pour diriger et surveiller pendant deux ans dix-neuf terroristes aux États-Unis, pour planifier, à la perfection, quatre détournements d’avions et pour être sûr que trois d’entre eux atteignent précisément leur cible ? Comment a-t-il fait pour organiser, communiquer, contrôler et superviser une énorme attaque de ce genre ? Avec deux boîtes de conserve et un bout de fil ?

    Les gros titres l’ont clamé haut et fort dés le premier jour et ils recommencent deux ans plus tard : "Des Terroristes attaquent les USA". Je me pose des question sur ce mot-là depuis un moment, George, alors laissez-moi vous poser une question : Si 15 des 19 pirates de l’air avaient été Coréens du Nord plutôt que Saoudiens et s’ils avaient tué 3000 personnes, pensez-vous qu’à la Une des journaux nous aurions lu : "La Corée du Nord attaque les États-Unis" ? Mais bien sûr que oui. S’il s’était agi de 15 Libyens, 15 Iraniens ou 15 Cubains il est clair qu’on aurait lu : "l’Iran (ou la Libye ou Cuba) attaque l’Amérique". Alors que pour le 11 septembre avez-vous déjà lu à la Une des journaux , avez-vous déjà entendu un journaliste télé ou l’un de vos délégués prononcer ces mots : "l’Arabie Saoudite a attaqué les Etat-Unis ?"

    Bien sûr que non. Et donc on se doit de se poser la question pourquoi ? Pourquoi avez-vous, alors que le Congrès a publié sa propre enquête sur le 11 septembre, fait censurer 28 pages qui traitaient du rôle des Saoudiens dans l’attaque ?

    J’aimerais bien avancer une hypothèse : et si le 11 septembre n’était pas une attaque terroriste mais une attaque militaire contre les États-Unis ? Il paraît que vous étiez pilote, George. C’est difficile de percuter un immeuble de cinq étages à plus de 900 Km/h ? À cette vitesse-là les pilotes se seraient retrouvés dans le fleuve s’ils avaient fait la moindre erreur de calcul. Vous n’apprenez pas à piloter des Boeing 747 à un tel niveau de compétence sur une console vidéo ou dans une école d’aviation bidon en Arizona. Ça, vous l’apprenez dans l’armée de l’air, et à quelques uns.

    L’armée de l’air saoudienne ?

    Et s’il ne s’agissait pas de terroristes fous mais de pilotes militaires qui se sont portés volontaires pour une mission suicide ? Et s’ils le faisaient sur ordre du gouvernement saoudien ou de quelques autres membres mécontents de la famille royale saoudienne ? Selon le livre de Robert Baer "Sleeping With The Devil" ("Dormir avec le Diable"), la maison des Saud en serait pleine. Alors, s’agit t-il de certaines factions au sein de la famille royale saoudienne qui ont commandité l’attaque du 11 septembre ?
    Est-ce les Saoudiens qui ont formé les pilotes ?
    Pourquoi vous donnez vous tant de mal à protéger les saoudiens alors que vous devriez nous protéger ?

    4. Pourquoi avez-vous autorisé un avion privé saoudien à survoler les USA dans les jours qui ont suivi le 11 septembre, à prendre à son bord des membres de la famille Ben Laden et à les faire sortir du pays sans enquête préalable du FBI ?

    Des avions privés, sous contrôle du gouvernement saoudien - et avec votre accord - ont été autorisés à voler dans l’espace aérien Américain alors que tout vol était interdit, à faire monter à bord 24 membres de la famille Ben Laden et à les emmener, dans un premier temps, vers un "lieu de rassemblement secret au Texas". Ils se sont ensuite envolés pour Washington DC, puis ont poursuivi sur Boston. Finalement, le 18 septembre, ils ont tous été emmenés par avion à Paris, hors d’atteinte de tout représentant officiel des USA. Ils n’ont subi aucun interrogatoire sérieux. Ceci est inconcevable. N’aurait-il pas été possible d’envisager qu’au moins l’un des 24 membres de la famille Ben Laden ait été au courant de quelque chose ?

    Alors que des milliers de personnes étaient bloqués, dans l’impossibilité de prendre l’avion, si l’on pouvait prouver qu’on était un proche parent du plus grand tueur en masse de l’histoire des USA, on avait droit à un voyage gratis pour le gai Paris !

    Pourquoi, M. Bush, cela a-t-il été permis ?

    5. Pourquoi protégez-vous les droits auxquels, d’après le Second Amendement de la Constitution, des terroristes potentiels peuvent prétendre ?

    M. Bush, dans les jours qui ont suivi le 11 septembre, le FBI a commencé des vérifications pour voir si certains des 186 "suspects" arrêtés par la police fédérale pendant les cinq jours qui ont suivi l’attaque, avaient acheté des armes à feu au cours des mois précédant le 11 septembre (ce qui était le cas pour deux d’entre eux). Quand votre procureur général John Ashcroft a entendu parler de cela, il a immédiatement clôt l’enquête. Il a dit au FBI que les fichiers de renseignements généraux ne pouvaient pas être utilisés pour ce genre de recherche et que ces fichiers ne devaient être utilisés qu’au moment de l’achat d’une arme à feu.

    Mr Bush, vous plaisantez ! Votre gouvernement est-il vraiment aussi toqué d’armes à feu et à ce point cul et chemise avec la National Rifle Association (Association National des Armes à feu) ? Franchement, j’adore la manière dont vous avez arrêté des centaines de personnes, les interpelant dans la rue sans aucun avertissement, les envoyant en cellule sans possibilité de prendre contact avec leur avocat ni leur famille, puis, pour la majeure partie d’entre eux, les expulsant du pays par bateau pour simple délit d’immigration.

    Vous pouvez faire abstraction de la protection que leur accorde le Quatrième Amendement contre toute enquête et saisie illégales, faire abstraction de leurs Droits, d’après le Sixième Amendement, à un procès public avec un jury composé de leurs pairs ainsi qu’à un avocat, faire abstraction des Droits garantis par le Premier Amendement : Droit de parole, de rassemblement, de liberté d’opinion et de pratique religieuse. Vous croyez que vous pouvez mépriser, purement et simplement, tous ces Droits, mais quand on en vient au Second Amendement et au Droit de posséder un AK-47 - Alors là ! Oh non ! Ce Droit-là, ils peuvent l’avoir - et vous allez défendre leur Droit à l’avoir.

    Qui, M. Bush, soutient véritablement les terroristes ici ?

    6. Vous rendiez-vous compte, quand vous étiez Gouverneur du Texas, que les Talibans se rendaient au Texas pour rencontrer vos amis des compagnies de pétrole et de gaz ?

    Selon la BBC, les Talibans sont allés au Texas pendant que vous en étiez le Gouverneur pour rencontrer Unocal, le géant du pétrole et de l’énergie, et discuter avec eux de la construction, souhaitée par cette Société, d’un pipe-line de gaz naturel partant du Turkménistan, traversant l’Afghanistan, sous contrôle des Talibans, pour aller jusqu’au Pakistan ?

    M. Bush, qu’est-ce que c’était que tout cela ?

    "Huston, nous avons un problème" ne vous a apparemment jamais traversé l’esprit, en dépit du fait que les Talibans étaient peut-être le régime fondamentaliste le plus répressif de la planète. Quel rôle exact avez-vous joué dans les rencontres entre Unocal et les Talibans ?

    Selon divers témoignages, des représentants de votre gouvernement ont rencontré des Talibans ou leur ont fait parvenir des messages au cours de l’été 2001. Quels étaient ces messages, M. Bush ? Discutiez-vous de leur offre de livrer Ben Laden ? Les menaciez-vous d’employer la force ? Leur parliez-vous d’un pipe-line ?

    7. Quelle a été l’expression de votre visage, dans cette salle de classe de Floride le matin du 11 septembre, quand le chef de votre équipe vous a dit "l’Amérique est attaquée" ?

    Le matin du 11 septembre, vous avez fait votre jogging sur un parcours de golf, et vous vous êtes ensuite dirigé vers l’école élémentaire Booker, en Floride, pour faire la lecture aux petits enfants. Vous êtes arrivé à l’école après que le premier avion ait frappé la tour Nord à New-York. Vous êtes entré dans la salle de classe vers 9h du matin, et à 9h03 le deuxième avion frappait la tour Sud.

    Quelques minutes plus tard, alors que vous étiez assis face à la classe, le chef de votre équipe, Andrew Card, est entré et vous a murmuré quelque chose à l’oreille. Card vous a apparemment parlé du deuxième avion, et du fait que l’Amérique était attaquée.

    Et c’est à ce moment-là que votre regard est devenu distant, pas vraiment vitreux, mais comme tétanisé. Aucune émotion. Et alors...vous êtes juste resté assis. Vous êtes resté assis là pendant encore environ sept minutes sans rien faire.

    George, à quoi pensiez-vous ? Qu’est-ce que ce regard voulait dire ?
    Pensiez-vous que vous auriez dû prendre les rapports de la CIA, qui vous avaient été remis le mois précédent, plus au sérieux ? Vous aviez été informé que le groupe Al Qaeda préparait des attaques contre les États-unis, et que des avions pourraient être utilisés.

    Ou bien étiez-vous simplement paniqué ?

    Ou peut-être pensiez-vous : "depuis le début je ne voulais pas de ce job ! C’était supposé être celui de Jeb ; il était l’élu ! Pourquoi moi ? Pourquoi moi, papa ?"

    Ou...peut-être, finalement peut-être que vous étiez assis là, dans cette salle de classe, à penser à vos amis saoudiens, les émirs et les Ben Laden. Ces gens que vous connaissiez trop bien et qui étaient peut-être en train de préparer des mauvais coups et dont vous saviez qu’ils étaient capables du pire.

    Y aurait-il des questions ? des suspicions ? Les Démocrates auraient-ils le cran d’aller fouiller dans votre passé familial en rapport avec ces gens-là (non, ne vous inquiétez pas, pas une chance que ça arrive !) ? La vérité éclaterait-elle ?

    Et tant que j’y suis...

    Danger - multimillionnaires en liberté

    J’ai toujours pensé qu’il était intéressant que les attentas meurtriers du 11 Septembre aient été commis par un multimillionnaire. On dit toujours qu’ils ont été commis par un "terroriste" ou par un "islamiste intégriste " ou par un "Arabe" mais jamais on n’attribue à Oussama Ben Laden son titre légitime : multimillionnaire.

    Pourquoi n’a t-on jamais lu à la Une d’un journal : "Un multimillionnaire tue 3000 personnes" ? Ce serait justifié non ?
    La fortune d’Oussama Ben Laden est évaluée à 30 millions de dollars ; c’est un multimillionnaire. Alors pourquoi n’est-ce pas ainsi qu’on le représente, comme un riche connard qui tue des gens ? Pourquoi ne nous servons-nous pas de ce mode de reconnaissance pour établir le profil d’éventuels terroristes ? Au lieu d’embarquer les Arabes suspects, pourquoi ne dit-on pas : "Oh Mon Dieu ! un multimillionnaire a tué 3000 personnes ! Embarquez les multimillionnaires ! Mettez-les en prison ! Pas de preuves ! pas de procès ! Déportez les millionnaires !"
    Garder l’Amérique entre de bonnes mains. L’"US Patriot Act" ( la "Loi" Antiterroriste décrétée par George W. Bush) et la description du combattant ennemi ne sont qu’un aperçu de ce que Bush nous réserve. Imaginez une invention de l’Amiral John Poindexter, un des auteurs dans l’affaire des contras avec l’Iran, et de l’Agence pour les Projets de Recherche Avancé pour la Défense ( Defense Advanced Research Projects Agency) : le marché de l’analyse politique que le gouvernement devait hébergé sur un site web.

    Il paraît que Poindexter croyait que les marchés à termes fonctionnaient si bien pour les potes de Bush chez Enron, qu’il pensait pouvoir les adapter pour prévoir le terrorisme. Des individus pourraient investir dans des contrats hypothétiques des marchés à terme liés à la probabilité d’événements tels que "l’assassinat de Yasser Arafat" ou "le renversement du roi Abdullah de Jordanie".

    D’autres marchés à terme seraient disponibles selon la santé économique, la stabilité civile et l’implication militaire en Égypte, en Iran, en Israël, en Arabie Saoudite, en Syrie et en Turquie. Tous étant des pays ayant un rapport avec le pétrole.

    Le marché proposé a duré environ un jour après avoir été révélé au Sénat. Les sénateurs Wyden et Dorgan ont protesté contre la demande faite au Pentagone de 8 millions de dollars. Wyden a déclaré : "Des marchés fictifs qui négocient sur des éventualités qui donnent la nausée semblent difficilement être la bonne mesure à prendre avec l’argent des contribuables dans la guerre contre le terrorisme. Poindexter a été obligé de démissionner, suite au scandale qui s’en est suivi.

    Donner les Clefs de la ville de Détroit à Saddam

    A Las Vegas, on a utilisé un véhicule blindé pour écraser des yaourts français, du pain français, des bouteilles de vin français, du Perrier, de la vodka Gray Goose, des photos de Chirac, un guide de Paris, et, le top, des photocopies du drapeau Français.

    La France était vraiment le pays idéal à épingler. Si vous êtes une chaîne d’infos par câble, pourquoi dépenser des fortunes en reportages d’investigation pour vérifier si l’Irak possède véritablement des armes de destruction massive, alors que vous pouvez expliquer à quel point les Français sont pourris. Fox News a été la première chaîne télé à associer Chirac et Saddam Hussein, en montrant un reportage où l’on voyait les deux hommes ensemble. Que la réunion ait eu lieu dans les années 70 n’avait aucune importance.

    En revanche, les médias n’ont pas jugé utile de nous montrer (encore et encore) des extraits où l’on voit Saddam Hussein recevant en cadeau les Clefs de la ville de Détroit, ni le film du début des années 80, lorsque Donald Rumsfeld visita Bagdad pour discuter de l’évolution de la guerre Iran-Irak.
    La photo de Rumsfeld embrassant Saddam Hussein ne valait apparemment pas le coup d’être diffusée en boucle. Ou même une seule fois. OK, peut-être une fois alors. Chez Oprah [Show TV à la Mireille Dumas - NDT].

    Michael Moore

    Michael Moore a lancé sa première attaque contre George W. Bush et ses potes de Droite dans son best seller : "Stupid White Men" (Stupide Homme Blanc). Le Président est de nouveau dans sa ligne de mire dans son nouveau livre : "Dude, Where’s My Country ?" (Qu’as-tu fait de mon pays, mec ?).





     

     

    Bleach le manga (pas l'album de nirvana)

    21/11/2005 00:53

    Bleach le manga (pas l'album de nirvana)


      Pour ce qui ne connaisse pas , c'est l'histoire de Kurosaki Ichigo, lycéen de 15ans, qui a hérité du don de voir les fantômes.Et puis un jour il rencontre Kushiki Rukia,une shinigami (= ange de la mort) qui, en voyant qu'Ichigo avait la facultés de la voir, lui explique que les shingami ont pour but d'aidés les âmes perdues à rejoindre la Soul Society (=Socièté des âmes) et d'éliminer les Hollows (=mauvais esprits).C'est par la suite que Rukia en voulant aidé Ichigo a sauvé sa famille d'un hollow, lui confèrent ses pouvoirs de shinigami...

    Pour ceux qui connaissent, ce manga devient trés vite une drogue et on attend fièvreusement le prochain épisode...

    tiens un petit lien sympa: http://hermitepervers.free.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=21&Itemid=38

    A +

    Man (-;





     

     

    FF Advent children

    21/11/2005 00:41

    FF Advent children


    Je viens de me regarder une nouvelle fois le film de squaresoft/Enix et rien à dire c vraiment la claque pour ceux qui ont joué et aimé Final Fantasy 7, je le préfère au film d'animation sorti il y a quelques années, on y retrouve Sephiroth et ça si c'est pas la classe...

    L'histoire part toutefois en live et retombe difficilement sur ses pattes mais cela vaut la peine de s'accrocher ne serait que pour la beauté des animation, un pur chef d'oeuvre.

    Dites moi ce que vous en avez pensé, moi j'ai vraiment adoré. C'est de la bombe babe.

    Manu (-;

     





     

     

    A nico mon frère

    20/11/2005 22:25

    A nico mon frère


    Un petit coucou à mon frangin préferé (normal j'en ai qu'un lol !), changes rien t le meilleur.
    Man (-;

     





     

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